jeudi 31 juillet 2008

Loin des yeux, loin du coeur

N'imaginez rien, ce n'est pas ce que vous pensez. Ou plutôt si, probablement, mais pas tout de suite.

N'allez pas penser que je vais vous faire toute une tirade sur le temps qui passe, les gens qui m'oublient etc, ce n'est absolument pas ça.

Mais commençons par le début. Mes vacances se sont bien passées, merci. Je suis parvenu, avec une grande satisfaction assez personnelle, à remplir intensément mon planning.
Je suis ravi d'avoir pu voir, bah finalement, vous, mes lecteurs. Cela faisait bien longtemps... trop longtemps si je me fie à certaines des nouvelles que j'ai appris durant mon séjour!

Je ne m'étend pas plus sur le sujet parce qu'il commence sérieusement à se faire tard et que j'ai envie de finir l'article avant d'aller me coucher.
Oui c'est une piètre raison mais vous allez devoir vivre avec.

Quoiqu'il en soit, la péripétie cette fois-ci m'attendait à mon arrivée à l'aéroport de Montréal quand l'un des braves douaniers a remarqué que mon permis de travail arrivait expirait 2 jours plus tard. Et de blaguer avec moi : "vous savez qu'on pourrait vous renvoyer en France tout de suite ?" et moi de lui répondre "ah, ben y a intérêt à y avoir un écran individuel qui fonctionne dans l'avion cette fois-ci parce que y en a marre!". Bon ok, c'est une blague je n'ai pas répondu ça mais j'aurais pu.
Et l'explication du titre est là finalement : à peine parti 10 jours qu'ils ne voulaient déjà plus me laisser rentrer, pays ingrat! Ne m'appelez plus jamais Canada, moi le Canada il m'a laissé tomber...
Bon, finalement, tout est arrangé de ce matin, mon permis de travail est renouvelé pour une année supplémentaire. Vous voilà rassurés. Ce qui veut dire que notre prochain rendez-vous sera dans 6 mois à présent. J'ai bien hâte. D'ici là, portez vous bien

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Rien de tel qu'un petit imprévu pour pimenter une fin de vacances ;o)

Heureux que tes vacances se soient déroulées selon tes souhaits !

Vive ce blog !

Luc a dit…

merci vincent

et vive mon lecteur!