Happy thanksgiving !

Si vous lisez ce message, pas maintenant mais dans environ 1 heure, que vous habitez aux Etats-Unis, que vous parlez français (oui parce que sinon c'est difficile de comprendre ce que je raconte sur le blog), alors je vous souhaite un joyeux thanksgiving. Et les autres, ben rien, retournez vous coucher.

Eh oui, jeudi, c'est Thanksgiving, la fête que personne ne sait exactement ce qu'on fête, ni pourquoi ce n'est pas à la même date au Canada et aux Stasunis.
Et pourquoi je vous en parle ? ah ben pour rien, demain sera une journée de travail normal ici. La petite différence c'est que le temps semble résolument orienté à la neige, comme sur la photo.

Et que la neige ici, mine de rien c'est ben ben drôle. Mardi matin, il faut dire que c'était particulièrement de la purée de poix. On ne voyait pas grand chose sur la route et j'étais bien soulagé de ne pas être derrière le volant. Comprenez que j'étais passager hein, pas que lorsque je conduis je ne m'assois pas en face du volant. Ou alors c'est que je suis vraiment fatigué, comme si j'oubliais d'allumer mes phares par exemple. C'est un exemple évidemment.
Et le plus comique de l'affaire, c'est quand, le long de l'autoroute, en l'espace de quelques kilomètres vous voyez dans le fossé 4 voitures, automobilistes trop audacieux ou pas assez préparés à ce changement de saison.
J'ai eu droit à des conditions plus clémentes aujourd'hui ce qui fait que je n'ai pas encore eu l'occasion de tester la combinaison grand coup de volant + brake à bras (1 mot, un jour !) pour tenter de faire le plus grand nombre de tours sur moi même.
Ca viendra

Demain, c'est sérieux, on annonce 30 cm de neige. De quoi avoir envie de travailler de chez soi, peut-être le programme de vendredi.
Vendredi d'ailleurs, il sera temps de célébrer le départ des vérificateurs (2 mots, un jour, wouhou ! -un vérificateur = un comissaire aux comptes/auditeur). C'est pas que je n'apprécie pas de passer du temps à faire un inventaire complets des provisions et à leur inventer des excuses bidons pour les justifier, mais j'ai un travail moi monsieur. Lequel, on ne sait pas bien mais ça a de quoi occuper mes journées quand même.