jeudi 2 août 2007

Premier message depuis le Canada. Enfin !

(Merci à Emmanuel qui se charge de la mise a jour en attendant que je puisse le faire moi-même)

On ne peut pas dire que cela s’est fait sans aventures, même si malgré des péripéties finalement sans grande conséquence, je suis rendu là où je devais.Cela en fait en tout cas beaucoup à raconter, pour une période de temps somme toute réduite.

Le mieux est sans doute que je m’y atèle sans plus tarder et un récit chronologique et dense est probablement ce qui se prête le mieux à ce récit.Je vais vous glisser un petit mot avant de rentrer dans le vif du sujet sur mes très bonnes vacances dans le sud de la France, au Domaine du Clos à côté de la petite ville de Beaucaire dans le pays nîmois. On s’était dit que pour une fin de mois de juillet le soleil allait écarter un peu les nuages pour faire enfin chauffer les piscines et réveiller les moustiques qui n’osaient pas sortir de leur marais par peur du coup de froid.Et bien de ce côté-là, pas de déception. Tout le monde était ravi, jouant à qui aurait la plus belle collection de piqûres à la fin du séjour.Eh bien peuchère je me suis bien battu !Quoiqu’il en soit, je vous recommande la région qui offre bien plus de choses à voir que nous n’avons pu en découvrir en 5 jours.

Mais ce n’est pas ici mon propos.Bien rassasié de tous les restaurants et toutes les spécialités françaises et étrangères que j’ai eu l’occasion de déguster avec beaucoup d’entre vous au cours des dernières semaines, j’ai donc bouclé lundi soir mes bagages, pas si remplis que ça finalement. La surcharge, s’il devait y en avoir une, se situait plutôt sur la face avant du porteur que dans les sacs qui pendaient à ses côtés. Comprenez que j’ai pris quelques kilos…

Dernière nuit dans mon couchage d’accueil, pour lequel je remercie de tout cœur les Robin qui m’ont sorti de mon confort spartiate et de mon ermitage pour mes derniers jours en France.Mardi matin, jour du grand départ, il était prévu que l’on parte à 10h30 d’Ermont, ville qui est à 30 minutes de l’aréroport. Ca semblait bien jouable. En plus nous sommes partis à l’heure prévue, chantonnant joyeusement bien ignorants du destin qui nous était réservé.Parfois la vie tente de vous faire passer un message, par une série de petites choses anodines, qui lorsque que l’on y prête une certaine attention dévoilent leur sens caché. Ou pas.Pour aller droit au but, pour dire les choses franchement comme à mon habitude, sans broder la trame principale par une foule de détails insignifiants et inintéressants qui ne font finalement que diluer le suspens et énerver le lecteur –ce qui n’est au passage, jamais une bonne chose, surtout lorsque l’on sait que 80% des lecteurs habituels de blogs ne magent pas régulièrement du pain-beurre-nutella ce qui, comme de très sérieuses études l’ont démontré sans que le moindre doute, n’affecte que peu la fécondité des femmes, a fortiori si c’est un homme qui en mange.

Sans intérêt, non ?Voilà, après ces rocambolesques rebondissements que vous aurez peut-être du mal à croire, me voilà donc à Montréal.

Bonjour !

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Tu nous laisse sur notre faim là, c'est pas juste .... Il s'est passé quoi à l'aéroport ?
Bonne 2eme journée au Canada, bise du pays sous les nuages et la pluie (Alby sur Chéran)
Anne-Claire

Anonyme a dit…

Tout l'art de faire languir le lecteur... Et pas moyen de pirater le bouquin avant sa sortie commerciale !
Grrrrrrr !!! ;o)

Les Choubs a dit…

moi je connais déjà l'histoire !!! eh eh !!!